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Soulitudes
5 décembre 2009

Je suis en manque de sexe. je suis frustré.

Je suis en manque de sexe. je suis frustré. Avouons-le, j'ai des besoins gargantuesques. Ou peut-être masculins tout simplement.  Un individu mâle alpha pense sexe un bon millier de fois par jour, souhaiterai le faire en continue, serait satisfait d'une fois toute les deux heures et se contenterait d'une fois par jour. La réalité est autre. J'ajoute que la part de sentiments n'entre pas en ligne de compte dans cette estimation personnelle. Parce que je veux du sexe. Pas de l'amour. l'amour c'est bien aussi, il ne faut pas mentir. C'est plus ou moins doux, intense, fusionnel. Les caresses sont une drogue au long court dont on ne peut se lasser. Mais il y a également un besoin primitif, pour ne pas dire bestial de sexe. Ce sexe qui griffe, qui se mêle de douleurs, de salive et pourquoi pas de sang. Ce sexe qui pétrie, serre, mord et claque. Je parle d'un acte sans pensée, débarrassé de jugement (cette position est un peu dévalorisante non ?) où chacun dévore l'autre dans une frénésie glissante et brulante de peau et de fluide corporel.

Ou alors il faut que je me mette au sport.

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Commentaires
G
S'aggriper avec ses ongles et les faire glisser comme dans du beurre, marquant le dos d'estafilades rouges. Sentir ses cheveux coller sur son visage et les chairs glisser l'une contre l'autre, luisantes d'un voile de sueur. Enfoncer ses crocs dans la peau tendre, laissant des souvenirs en demi-lune. Enserrer le bout d'un sein, maintenir fermement des poignets, se servir de n'importe quel muscle comme point d'ancrage, à en laisser des ecchymoses.<br /> <br /> Je doute qu'un sport quel qu'il soit puisse permettre d'aussi agréables violences.
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